Sujet: SWANN ; une lueur dans la nuit Mar 25 Oct - 17:20
Swann Lucrezia Mary Athelstan
surnom(s) essaie de lui en donner tiens éè date & lieu de naissance, âge 12 avril 1948 - 23 ans situation Veuve profession aucun groupe étrangers
ta personnalité
La première chose que l’on peut dire, c’est que, dès qu’on la voit, on est frappé par beaucoup d’émotions contradictoires. On s’interroge en premier lieu sur sa fiabilité, peut-on lui faire confiance ou non? La réponse est non, car en plus d’être une étrangère, c’est une manipulatrice qui fait passer ses intérêts avant tout. En plus de cela, et chose qui lui attire les foudres de beaucoup de femme, c'est une séductrice, dès qu'elle voit un homme, ou même un adolescent, c'est plus fort qu'elle, automatique, elle va essayer de le charmer, le séduire. Et qui oserait résister à un si joli minois? Rare sont ceux qui le font, et heureusement, car Swann est sans doute la personne la personne la plus rancunière qu'il y ait sur Terre. La vengeance est sa vie. A côté de cela, il ne faut pas croire que c'est une belle idiote, loin de là, Swann calcule tout avec précision, trop intelligente et rusée au contraire. Méfiante et déterminée. Nul ne peut se mettre en travers de son chemin sans en subir les conséquences. La jeune femme n'est pas insensible non plus, disons juste, qu'à être froide et distante la plupart du temps, elle montre très peu ses émotions. Mais elle aime l'amour, le plaisir, d'ailleurs, elle se plaît à répéter que si elle n'avait pas été de noble naissance, elle aurait sans doute été une prostituée. Contrairement à beaucoup de femmes, elle les respecte d'ailleurs. Etant donné qu'elle n'a aucun moyen de se défendre, elle compense largement par son sens de la répartie, parfois aussi digne que celui d'un fermier. De rares fois, lorsqu'elle reconnaît, face à elle, une personne différente des autres, elle peut abandonner son masque un instant, oublier ses préjugés, et parler d'égal à égal. Mais malgré tout, personne ne sait qui elle est, dans quel camps elle est, ni de quoi elle est vraiment capable. Ses plus grosses qualités sont sans doute son courage, car Swann ne baisse les yeux devant rien, mêlant alors courage et imprudence, mais la vie sans un peu de folie, ce n'est pas une vie, aussi elle se soucie très peu de ce qu'il peut lui arriver. Elle sait également où et quand elle doit s'effacer et face à qui. A côté de la femme qui vit chaque jour intensément, il y a celle rêveuse, brisée, qui n'a pas totalement disparue et qui ère encore à la recherche d'une chose inconnue.
Gritsou
avatar Natalie Dormer pseudo(s) c'marqué en haut (a) âge =O ville héhé
comment as-tu connu le forum? PRD un dernier mot peut-être?
Dernière édition par Swann L. Athelstan le Mar 25 Oct - 21:48, édité 18 fois
Swann L. Athelstan
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Date d'inscription : 25/10/2011 Âge : 23 ans $$ : 1510 Messages : 107 Localisation : Saint Elmo
Sujet: Re: SWANN ; une lueur dans la nuit Mar 25 Oct - 17:21
ton histoire
A l’horizon, le ciel se teintant lentement de couleur vive, orangée, rosée, et les rayons naissants du soleil se reflétaient sur les quelques nuages gris trainant dans le ciel. L'air, à l'extérieur, était vif et froid. Deux cris simultanés retentirent. Une porte massive en chêne s'ouvrit brusquement pour laisser place à un serviteur soigneusement vêtu d'une livrée, puis soudain, le majordome le doubla et précautionneusement entra dans l'imposante bibliothèque, le parquet craquant sous ses pas. Au fond de la pièce, en face des immenses fenêtres, assis au bureau, se tenait son maître, Lord Athelstan. « C'est une fille mylord. » fit d'une voix tremblante le majordome. Sans un mot, il se contenta de congédier le serviteur d'un geste las de la main et le nouveau père s'assit à son bureau. Un fils. Il voulait un fils, ce n'était pourquoi pas compliqué! Pourquoi son épouse ne lui donnait-elle que des filles?
« Aaaaaaaaaaaaaah » hurla Tom en s'étalant de tout son long sur le sol sous les éclats de rire de la fillette. Lorsque son ami, le fils du garde forestier se releva, couvert de boue, Swann ne put s'empêcher de rire encore plus, bouche ouverte, sous le regard furieux et impuissants du garçon. Gloussante, elle se calma enfin, et voyant cela Tom avança vers elle. Swann le regarda un bref instant, l'oeil vif et s'en alla en courant tandis que Tom la poursuivait. Il ne la rattraperait pas, elle le savait, elle courait plus vite que lui, elle était plus forte que lui. Souvent, sa gouvernante lui disait qu'elle se conduisait comme une fille de ferme et que sa conduite était indigne d'une lady, mais Swann préférait s'amuser et courir dans les champs, dans les bois, grimper sur son poney -et pas en amazone bien sûr-, escalader les arbres et plonger, tête la première dans la rivière. Ses journées, à vrai dire, se ressemblait toute, et dès qu'elle avait la moindre occasion d'y échapper, elle le faisait, tout en sachant très bien qu'il y aurait des conséquences, une punition. Continuant de courir, la fillette fut soudain stoppée net par un obstacle contre lequel elle se cogna. Tournant la tête, elle vit le regard ébahi de Tom, la crainte dans ses yeux, et elle sentit sur son épaule une poigne de fer, et elle entendit une voix glaciale « C'est ainsi que se comporte ma fille en mon absence? Comme une vulgaire paysanne! » Tremblante, Swann n'osait pas relever les yeux vers son père. Contre sa joue, elle sentit la morsure d'une gifle, elle se retint de pleurer, les larmes lui piquant néanmoins les yeux, mais pas de douleur, non, d'humiliation. Elle fut soudain entraînée vers le château, puis traînée, sous les yeux horrifiées de ses soeurs, Louise, son aînée, une charmante fillette blonde aux traits qui montraient déjà la belle femme qu'elle serait un jour, et Alice, sa cadette, jolie, fragile, aussi blonde que Louise. Leurs yeux bleus exprimaient la terreur et la compassion. Ceux de Swann, après la peur qui y avait lui, étaient calmes, vifs, rieurs. Elle savait que son père n'aimait pas la toucher, et qu'il ne la frapperait pas. Elle serait punie une semaine, deux peut-être, et puis tout serait oublié. C'était toujours comme ça, il était furieux, mais il oubliait tout concernant ses filles, puisqu'elles n'étaient que des filles, alors, qu'elles se comportent bien ou mal, peu importait.
Dans un bruit sec, le couteau se ficha dans l'écorce épaisse du chêne centenaire, en plein milieu d'une cible dessinée rapidement. Avec un charmant sourire, et le joie luisant dans ses yeux bleus clairs, Swann se retourna vers Tom qui se tenait près d'elle. « Fais mieux! » lança t-elle d'une voix joyeuse, puis d'un pas léger et dansant, elle s'avança pour récupérer le couteau qu'elle tira d'un coup sec et ferme. Se retournant elle revint à sa place en tendant la lame à Tom. Celui-ci hésita. « As-tu peur que je te batte Tom? » Ce dernier avala difficilement sa salive en tendant la main, tremblante, pour se saisir de l'arme. Souplement, elle se glissa à ses côtés, se serrant contre lui, ses longs cheveux bruns tombant librement sur ses épaules. Elle savait l'effet qu'elle lui faisait, elle avait toujours été la plus forte des deux, et ce, depuis toujours. Sa joue frôlant celle de Tom, elle chuchota « Allez! Tu ne veux pas me décevoir n'est-ce pas? » Il murmura une vague réponse négative, tremblotante, puis lança le couteau qui rebondit contre l'écorce, sans s'y ficher. Déçue, Swann le regarda, puis commença à s'en aller. Elle devait se préparer pour le bal, et elle voulait être éblouissante pour montrer à son père ce qu'il ratait. Un sourire amer se dessina sur ses lèvres, elle lui ferait regretter, à lui et à tous les autres hommes.
Comme toute jeune fille de haute naissance, Swann avait du être présentée à la cour, au Roi et à La Reine à dix-sept ans pour pouvoir faire son entrée dans le monde aussitôt après. En l'occurrence, elle avait rencontrée la Reine Victoria et le Prince Albert, à Londres. La ville brumeuse lui avait aussitôt énormément déplu, et la première chose qu'elle fit, dès qu'elle le pût fut de rentrer chez elle.
Elle devait l'avouer, elle était magnifique. Swann se regarda encore une fois dans l'immense glace. Oui, magnifique. D'une beauté étrange, sensuelle, envoûtante, rehaussée par cette robe d'ivoire et la couronne de ses cheveux, soulignant la blancheur de sa peau, et la noirceur de sa chevelure. Elle sourit, mais son sourire fut aussitôt remplacé par une moue de colère. Vendue. Voilà. Elle avait juste été vendue. C'était la situation la plus humiliante qu'il lui ai été donné de vivre, mais qu'importait, il lui suffisait de marcher jusqu'à la chapelle, de dire oui, de lier sa vie à celle d'un parfait inconnu, et elle serait libre, libre de son père! Mais lié à un autre. Certes. C'était là le seul obstacle, mais elle viendrait à bout de cet homme. La porte s'ouvrit derrière elle et le miroir lui renvoya l'image de ses deux sœurs, vêtue de robe rose pâle, elles étaient ravissantes. « C'est l'heure » fit d'une voix nonchalante Louise en s'asseyant sur le lit. Alice, visiblement, était excitée, et ne tenait plus en place. Se retournant, Swann s'avança vers ses soeurs, seul le bruissement de sa robe étant audible, puis poussant un soupir demanda « Comment est-il? Alice! Dites-le moi! Vous le savez! » Alice gloussa et un moment, Swann eut envie de la gifler, trop mignonne, trop stupide aussi. Voilà pourquoi elle avait toujours préféré Louise avec qui elle s'entendait mieux. « Pour un Ecossais, il est beau! Vous en avez de la chance! » s'écria Alice soudainement. La future mariée se contenta de soupirer et répliqua « Peut-être. C'est à croire en tout cas que Père a voulu se venger de toutes les bêtises que j'ai faite étant enfant pour vouloir me voir épouser un simple colonel » Louise se redressa et commença « Lieutenant, certes, mais on dit qu'il a une carrière prometteuse à faire dans l'armée, et il a des contacts! De plus, il vient d'une famille noble, il n'est que le second, il est vrai, mais l'aîné n'est qu'un débauché et un ivrogne notoire parait-il. » Swann soupira, espérant simplement que les deux frères étaient différents. D'un pas royal, la tête haute, elle sortit de sa chambre, y jetant un dernier coup d'oeil. Elle ne reviendrait sans doute jamais ici. Lentement, elle descendit l'escalier de marbre en bas duquel l'attendait son père. Il lui tendit son bras et elle l'attrapa, sortant avec lui, grimpant dans la calèche. Devant la chapelle, un monde fou s'était réuni, dont beaucoup de gens inconnus. Son père lui maintenant fermement le bras lorsqu'ils rentrèrent dans l'église et que la musique commença. Le coeur battant elle fixa le bout de l'allée, de dos, elle distinguait un homme grand et mince, aux cheveux bruns et bouclés. Il se retourna légèrement pour la voir arriver et Swann distingua un bel homme, effectivement. Ses soeurs ne lui avaient pas mentis. Elle évita d'ailleurs de se retourner pour les voir. Avant d'attraper la main de son fiancé, son père la retint un bref instant et murmura « Je suis fière de vous Swann. » Alors, ses yeux se firent glaciaux tandis qu'elle tournât la tête vers son père et répliqua d'un souffle glacial « Je n'ai que faire de votre fierté Père. » Puis elle posa sa main dans celle de son fiancé et gravit les quelques marches à ses côtés. L'office commença. Le silence se fit dans la chapelle, seulement troublé par les paroles solennelles que prononçait le pasteur. « Richard Thomas George McLean, acceptez de prendre pour épouse ici présente, Swann Lucrezia Mary Athelstan? » D'une voix grave et chaude il répliqua fermement « Oui. » et elle sentit à son annuaire son alliance se glisser tandis que le pasteur continuait « Swann Lucrezia Mary Athelstan, acceptez-vous de prendre pour époux ici présent Richard Thomas George McLean? » Avait-elle le choix? Non. Un sourire amer se dessina sur ses lèvres, et en levant les yeux, elle vit que Richard la fixait, un sourire moqueur aux lèvres. Il avait comprit la situation et s'en amusait. « Oui. » fit-elle d'une voix douce.
Atlanta était une jolie petite ville que Swann adopta dès que le bateau débarqua près de Savannah. Ralier Atlanta leur prit une bonne semaine, en longeant les fleuves. Au final, l’Amérique ressemblait beaucoup à l'Angleterre, en plus grand, en plus beau, en plus dangereux. La Guerre de Sécession, bien que terminée depuis quelques années, avait laissé ses marques et son époux se rendait à Atlanta pour affaire. Plutôt que de se morfondre en Angleterre, et malgré le voyage inconfortable qu'elle avait du accomplir, elle ne regrettait absolument pas d'avoir quitté son pays, mourant de curiosité à l'idée de poser le pied dans cette colonie dont elle entendait tant parler à la table de son mari, lors de quelques repas diplomatiques. Etant donné sa naissance, sa richesse, sa beauté, Swann fut rapidement acceptée par la société géorgienne, et en fut secrètement amusée. Ils croyaient l'impression avoir leurs réceptions fastueuses, pleines de mauvais goûts? Ils se trompaient. Mais bien élevée, elle n'en montra absolument rien. La présence discrète de Richard à ses côtés lui était devenu familière, et si elle n'était pas amoureuse de son mari elle avait pour lui, une affection sincère, l'amour viendrait sûrement, pensait-elle, avec le temps. Il la protégeait et la respectait, elle ne souhaitait rien de plus. Heureuse. Elle l'était oui.
« Ma chère Swann, Si vous saviez à quel point je suis heureuse! J'ai épousé il y a de cela une semaine Charles Manners, le duc de Rutland, c'est donc une Duchesse qui vous écris. Oh, si vous saviez à quel point je suis heureuse! Je me répètes certes, mais je ne le crierai jamais assez fort. Alice vient de se fiancer, quand à elle, avec William Keppel, le comte d'Albermarle. Vous aviez sans doute raison en disant que Père vous a marié à un simple Colenel pour se venger de vous, mais au moins, si cela peut vous rassurer, Richard est le plus beau des trois, et le plus riche aussi. J'espère que vous êtes heureuse là-bas, il faut absolument que vous me racontiez à quoi cela ressemble, l'Amérique! Mes amies me supplient de vous passer leur bonjour, il faut dire qu'après votre départ, vous êtes brusquement devenue célèbre, une sorte de martyre. Vous êtes si loin de nous! Mais je ne vous écris pas pour vous raconter cela, enfin, pas uniquement. Père est gravement malade, je suppose qu'il a pris froid mais son état de santé est inquiétant. Fort heureusement il est encore jeune et fort, je pense qu'il se rétablira bientôt que qu'il nous fait là juste une bonne maladie éphémère. Votre soeur, affectueusement. Louise Athelstan Manners, Duchesse de Rutland. »
Les flammes bientôt, léchèrent la lettre, et le feu crépita dans la cheminée. A pas lent, Swann se dirigea vers la fenêtre gelée, dehors, la neige recouvrait tout. Le coeur battant, la jeune femme observa la lune, brillante dans le ciel nocturne. Richard n'était pas encore rentré. Étrange. Ce dîner prenait beaucoup de temps. Le coeur battant, elle se glissa, inquiète, entre les draps glacés et attendit, les yeux fixés sur le plafond. On vint la chercher, et se redressant, lissant sa robe, se recoiffant, Swann jeta un regard froid à ceux la regardait avec pitié. Le corps de Richard devait être ramené en Ecosse, chez lui. Elle savait que c'était ce qu'il voudrait.
« Toutes mes condoléances Lady McLean » fit un vieil homme, proprement vêtu en la fixant. Brisée, Swann se détourna vers la fenêtre et d'un geste de la main, ordonna à l'homme de se retirer. Elle se tenait droite et fière, froide et distante. Enfin, lorsque la porte se referma, elle s’effondra et laissa libre court à sa peine. Combien de temps pleura t-elle? Peu. Mais après les larmes vinrent les pensées floues, emmêlées, la douleur et le désespoir. Sans cesse, elle répétait son nom, elle le revoyait, ses yeux si clairs, ses boucles sombres, son sourire, sa voix, sa peau. Non, c'était impossible, il ne pouvait pas être mort. Elle tremblait. Il allait revenir d'un instant à l'autre. Lorsqu'enfin, elle se montra, les gens lui jetèrent des regards emplis de pitié. Elle les ignora. Elle savait ce que Richard voulait. Il voulait être enterré chez lui, en Ecosse, dans la cripte familiale, avec ses ancêtres et ses parents.
Georgia McLean naquit à la fin de l'été 1867, apportant avec elle un semblant de joie et de bonheur pour Swann. C'était une fillette charmante, avec des cheveux blonds et les yeux bleus turquoises de son père. Elle retrouvait, chez sa fille, beaucoup de chose de son père, et chaque fois qu'elle remarquait cela, un poignard s'enfonçait dans son coeur. Mais, bientôt, elle commença à s'adapter, et ses larmes s'effacèrent. Le temps passait vite, Swann était occupée à regarder et admirer Georgia. Elle était en paix. Pourtant, elle savait qu'un jour, Georgia partirait, elle était l'unique héritière du Clan McLean, et chez les Ecossais, les filles peuvent hériter. C'était son cas. Si elle voulait que son enfant entre en pleine possession de l'héritage laissé par son père, alors, Swann devait se résoudre à se séparer d'elle, de l'envoyer chez sa grand-mère qui ferait d'elle une vraie Écossaise.
Le jour de ses quatre ans, le coeur lourd, Swann fit route vers Savannah, de là, un bateau attendait Georgia, qui l’emmènerait à Londres, où elle résiderait quelques jours chez Louise, le temps de se remettre de ses émotions et de continuer son chemin jusqu'en Ecosse. Au dernier instant, elle faillit ne pas la laisser partir, la route était dangereuse, le bateau pouvait couler. Mais Swann n'avait pas la force, pas l'envie de rentrer chez elle. Elle n'était pas prête à affronter les siens, elle sentait qu'elle avait perdu quelque chose et qu'avant, elle devait se reconstruire.
Pourquoi Saint-Elmo? Swann mourait d'envie de découvrir ce que le Far-West, ce mythique, mystérieux Est cachait. Elle n'avait pas peur de la pauvreté, des bandits, cela lui rappelait son enfance, où elle se jetait dans la boue, où elle battait à plate couture tous les garçons qui la provoquait. Plus important, un jour, elle savait qu'elle partirait retrouver Georgia.
Dernière édition par Swann L. Athelstan le Mar 25 Oct - 21:48, édité 33 fois
Dehlia James
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Sujet: Re: SWANN ; une lueur dans la nuit Mer 26 Oct - 7:39
Bienvenue ! ^^
Saint Elmo
JE SUIS LE MAÎTRE DU MÔÔÔÔNDE !
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Sujet: Re: SWANN ; une lueur dans la nuit Mer 26 Oct - 13:55
fiche validée !
Ca y est! Tu as été validée par l'administration, tu peux désormais rejoindre le RP alors bienvenue parmi nous! Tout d'abord, pour t'imprégner du décor et de l'ambiance, tu peux lire les topics créés dans la partie "Aide"; ensuite, tu peux créer tes demandes de liens, demandes de topics ainsi qu'ouvrir ton coffre fort qui te permettra de ranger soigneusement tes derniers achats. N'oublie pas que tu peux aussi trouver un métier et ainsi, recevoir un salaire! Enfin, pour te détendre et faire connaissance avec le reste des joueurs, direction : LE FLOOD!
Maintenant, c'est à toi de jouer
(très belle fiche au passage!)
Swann L. Athelstan
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Sujet: Re: SWANN ; une lueur dans la nuit Jeu 27 Oct - 8:16
C'est vrai que nous avons pas mal de points communs... Cela peut être très intéressant!
Bill Poole
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Date d'inscription : 25/10/2011 Âge : 43 ans $$ : 1900 Messages : 216 Localisation : Au Green House Emploi du perso : Boucher Humeur : Manipulatrice...
Sujet: Re: SWANN ; une lueur dans la nuit Jeu 27 Oct - 19:15
Au plaisir de te croiser si je parviens à la validation